Ce n'est pas un miroir.
C'est une porte silencieuse, dissimulée derrière le raffinement d'un cadre baroque, comme si l'objet avait été sculpté pour tromper les yeux profanes.
L'intérieur vide devient passage.
Un ovale d'air, de lumière et de présence où l'on devine, parfois, la silhouette d'une muse, d'une déesse… ou de ce qui veille de l'autre côté.
Ce portail ne reflète pas : il révèle.
Il t'invite à regarder autrement, à laisser l'intuition traverser, à écouter ce qui chuchote entre les mondes. C'est un seuil vers les visions subtiles, les messages qui se déposent quand le cœur est calme et que l'esprit s'ouvre.
Un objet ancien, presque sacré, qui semble avoir gardé la mémoire des regards qui l'ont traversé — et des secrets qu'il n'a jamais trahis.
Formule rituelle :
« J'ouvre le passage, je traverse l'invisible, et je laisse venir ce qui doit être vu. »